Fais-moi un Cunni, bouffe moi la chatte

Embrasse moi le sexe fais moi un cunni

Salut
Bon d’accord, je veux bien venir. Il faut dire que tu m’as aussi excité tout à l’heure sur le chat coquin. J’ai vraiment commencé à mouiller quand j’ai vu ta main caresser tes belles burnes et remonter lentement le long de la hampe de ta bite et envelopper délicatement ton gland.

Il n’est pas question de plan cul avec moi sans cunni

Mon clitoris s’est mis à gonfler brutalement. Tu vois, comme une petite bite qui de décapuchonne et devient tout rouge, alors forcément je me suis mise à me masturber, à branler mon abricot trempé de cyprine. Tu sais que je jouis facilement comme ça toute seule dans ma chambre. J’enfonce mes doigts ma chatte pour frotter mon point G. Mais ça c’est quand je suis seule et je préfère quand même quand c’est un mec qui me fait ça. Tu voudrais pas me rejoindre pour t’occuper de moi et de ma chatte ?

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Mange moi le minette, fais moi MON cunnilingus

Mais à une condition, mais tu dois connaître mes goûts, je veux vraiment que tu me lèches la moule. J’ai envie de sentir ta langue tourner entre mes lèvres, pénétrer dans mon vagin, venir titiller mon clito. Viens vite me voir pour tchater et que tu me sautes vite fait. Tu verras, j’ai un clitoris qui gonfle beaucoup et ça me rend vraiment folle quand le mordille et qu’on l’aspire. Après tu pourras me fourgonner avec ta bite, tant que tu voudras. Je suis une fille normale tu vois, une fille qui aime sentir une grosse queue la limer, la baiser jusqu’à la garde. Tu peux faire ça pour moi ou pas ?

Tu vois, je veux également jouir de ta langue, je veux un vrai cunnilingus, je veux que tu boive le flot de ma cyprine amoureuse.

Baise une bonne salope

Fait moi un cunni

Broute moi la chatte, mange moi le con. Margot n’avait que ces mots la à la bouche. Elle ouvrait les hostilités dès le matin en grimpant à califourchon, collant sa vulve sur ma bouche. Elle grognait, « suce moi le berlingot » avant que je sorte du lit. Comme je me faisais un devoir de lui ramoner l’abricot avec tout le savoir faire qui me caractérisait, elle jouissait rapidement en grognant, m’inondait de sa cyprine tiède et mettait les voiles pour aller s’habiller.

Je la retrouvais dans la cuisine, attablée devant son repas du matin, les yeux énamourés. Quand elle n’était vêtue que de sa petite jupe, un peu raz la moule et que la voyait écarter les guitares, je savais ce qui m’attendais. Je devais passer sous la table pour lui bricoler la cliquette. Elle m’autorisait à la branler avec les doigts, mais je devais la finir avec la langue, la façon la plus explosive de lui gâter le matou me disait-elle.

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Elle me laissait quand quelques heures de répit, le temps de lui préparer son repas du midi, qu’elle dévorait après une demi journée de boulot, pendant que, à genou entre ses jambes, je me nourrissais de la moiteur de sa motte, jouant avec des petites lèvres, les suçant, aspirant son bouton rose, jusqu’à ce qu’elle serre ma tête entre ses jambes, étourdissant mes oreilles, pour ne pas l’entendre jouir bruyamment.

Le soir elle rentrait à la maison, je me remettais à la besogne en lui gloutonnant le mont velu, quand enfin, en fin de soirée, devant le générique de fin du film, je sortais ma verge en lui demandant de me tailler une pipe. Elle minaudait et finissait par dire : « d’accord, mais fais moi un cunnilingus avant.

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