Le guide ultime et décalé de la sodomie : comment exploser le plaisir du sexe anal avec une jeune femme (et les autres !)

Oubliez les clichés poussiéreux et préparez-vous à une aventure coquine et décomplexée. Ce guide est votre sésame pour explorer la sodomie sous toutes ses coutures, que vous soyez novice curieuse, partenaire cherchant à pimenter sa vie sexuelle, ou simplement en quête d’un plaisir intense et inattendu. Nous allons démolir les idées reçues, décortiquer la préparation (hygiène, lubrifiants, et joujoux coquins), insister sur l’importance vitale de la communication et vous donner toutes les clés pour transformer l’appréhension en extase. De l’anulingus à l’orgasme prostatique, en passant par l’auto-exploration, préparez-vous à déverrouiller une nouvelle dimension de votre vie intime. Car oui, la sodomie, c’est aussi pour les femmes, et c’est sacrément bon ! 😜

🚀 Le sexe anal : Au-delà du mythe, la nouvelle frontière du plaisir

La sodomie… rien que le mot fait parfois rougir, fantasmer, ou lever un sourcil interrogateur. Longtemps reléguée au rang de pratique taboue, parfois même jugée « extrême » ou « réservée » à une certaine catégorie d’amants, elle est en réalité une porte d’entrée vers un pan entier de sensations exquises et souvent sous-estimées. Sur [lien suspect supprimé], on aime briser les murs, surtout ceux qui bloquent le plaisir ! Alors, ouvrons grand les vannes de la curiosité et explorons ce trésor caché du corps humain.

Le plaisir anal n’est pas une simple alternative, c’est une expérience sensorielle à part entière, capable de débloquer des orgasmes d’une intensité rare. Si vous êtes ici, c’est que l’idée vous trotte dans la tête, que la curiosité vous pique. Bravo ! Car faire le premier pas, c’est déjà 90 % du chemin.

🤯 Les idées reçues sur la sodomie : on les défonce une bonne fois pour toutes !

Avant d’enfiler les gants de la conquête anale, il est fondamental de faire le ménage dans votre tête. Le sexe anal est entouré d’une aura de préjugés tenaces qui ne demandent qu’à être réduits en miettes par la réalité du plaisir.

💔 Cliché n°1 : La sodomie est forcément douloureuse et brutale.

FAUX, FAUX, et triple FAUX ! C’est le cliché le plus répandu et le plus dommageable. La douleur n’est pas un ingrédient de l’équation anale. Si c’est douloureux, c’est qu’il y a un souci : manque de préparation, d’hydratation (coucou le lubrifiant !), ou une absence totale de communication.

L’anus est un muscle (le sphincter) qui a besoin d’être apprivoisé, détendu, et dilaté progressivement. Une première expérience de sodomie réussie, c’est une expérience indolore. C’est une question de temps, de patience, et d’un bon dosage de lubrifiant.

Le Coin de l’Anatomie (rapide et sexy) : L’anus est un accès direct à des terminaisons nerveuses ultra-sensibles, notamment grâce au fameux nerf pudendal. Ce nerf, présent chez l’homme comme chez la femme, est le Messi du plaisir génital et rectal. Stimuler cette zone, c’est envoyer un feu d’artifice de sensations vers vos zones érogènes. Non, la sodomie n’est pas juste un « truc de mec », Mesdames, c’est aussi votre chance d’atteindre le nirvana !

💔 Cliché n°2 : C’est un fantasme masculin, la femme ne prend aucun plaisir.

Alors là, c’est la cerise sur le gâteau de l’ignorance. Si c’était un plaisir exclusivement masculin, pourquoi tant de femmes l’adorent ? La stimulation anale est une voie directe vers des sensations intenses pour la femme. L’anus se situe juste à côté du vagin, et la pénétration anale, bien menée, peut exercer une pression indirecte et délicieuse sur les parois vaginales et même, pour certaines, sur le col de l’utérus ou le point G.

De plus, l’excitation ressentie à explorer une zone aussi érogène et « interdite » est une jouissance psychologique en soi. C’est le kiff de dépasser ses limites et d’offrir cette intimité à son partenaire.

💔 Cliché n°3 : C’est sale, et réservé aux films X !

Oui, l’anus est la sortie des selles. Mais devinez quoi ? En 2025, nous avons accès à l’eau courante et à des outils d’hygiène incroyablement efficaces ! Un bon lavement anal pré-rapport (on y revient plus tard) règle 99 % du problème. Quant à l’aspect « sale », il s’agit d’une peur qui disparaît dès la première expérience réussie. L’esprit est bien plus cochon que le corps.

Et non, ce n’est pas réservé aux films X. C’est une pratique sexuelle légitime, délicieuse, et pratiquée par des millions de couples « normaux » (si tant est que la « normalité » existe au lit). C’est simplement un autre plat à la carte du menu sexuel.

💧 Le kit de survie du parfait petit anal-iste : Hygiène et Lubrifiants

Passons aux choses sérieuses : pour que cette aventure soit digne d’une épopée joyeuse et non d’un mauvais road-trip, deux éléments sont non négociables : l’hygiène et le lubrifiant.

🛁 Une hygiène de pro pour un plaisir sans stress

Si vous avez peur de l’accident ou de l’odeur (ce qui est souvent la plus grande source de stress), rassurez-vous : on a des solutions simples et efficaces.

Le Lavement Anal : Le geste qui change tout

C’est l’étape que beaucoup redoutent ou négligent. Pourtant, le lavement (ou douche anale) est l’assurance sérénité.

• • L’outil magique : Une poire à lavement anal (ou un kit de douche anale) est l’accessoire indispensable. Simple, efficace, et peu coûteux.
  • La technique : Il s’agit d’introduire de l’eau tiède (et seulement de l’eau) dans la partie basse du rectum, puis de la relâcher. Répétez l’opération jusqu’à ce que l’eau revienne claire. Attention : Ne le faites pas trop souvent ni trop profondément. On cherche à nettoyer l’ampoule rectale (la zone concernée par la pénétration), pas les intestins !

Note : La nature est bien faite. Le rectum est généralement vide la plupart du temps. Ce n’est pas une obligation avant chaque tentative, mais pour une première fois, ou pour plus de tranquillité d’esprit, c’est la meilleure des solutions !

Le Condom : La sécurité avant tout

L’anus n’est pas le vagin. Ses muqueuses sont fines, fragiles et ne se lubrifient pas seules. Le risque de micro-déchirures est plus élevé, augmentant le risque de transmission d’IST. L’utilisation de préservatifs est donc vivement conseillée, voire indispensable, même dans un couple stable si d’autres pratiques sont en cours.

Règle d’or : Ne jamais passer d’une pénétration anale à une pénétration vaginale (ou orale) sans changer de préservatif et nettoyer l’objet pénétrant (sexgée !). Vous évitez ainsi de transporter des bactéries intestinales là où elles n’ont rien à faire (vagin, bouche).

🧴 Le lubrifiant : Votre meilleur ami (vraiment !)

C’est la pièce maîtresse du puzzle anal. Sans lui, c’est la friction, la douleur et le désamour. Avec lui, c’est la glisse, la chaleur et l’extase.

Pourquoi en mettre beaucoup ?

L’anus ne produit pas de lubrification naturelle. Le lubrifiant doit remplacer ce manque. N’ayez pas peur d’en abuser ! Enduisez généreusement l’entrée de l’anus, les fesses, et bien sûr, l’objet de la pénétration (doigt, pénis, sextoy). L’idée est que ça glisse comme une loutre sur de la glace.

Type de Lubrifiant	Avantages pour le Sexe Anal	Inconvénients / À savoir
À base d’eau	Compatible avec tous les sextoys et préservatifs.	Sèche plus rapidement, nécessite des applications fréquentes.
À base de silicone	Plus épais, très longue durée, ultra-glissant (idéal pour les débuts).	Incompatible avec les sextoys en silicone (ils se dégradent).
Hybride (eau + silicone)	Le meilleur des deux mondes : glisse et bonne compatibilité.	Prix souvent plus élevé.

Conseil de pro : Pour une première fois, un lubrifiant à base de silicone de qualité est souvent le plus confortable. Si vous utilisez un plug ou un sextoy en silicone, passez à la version à base d’eau, et n’oubliez pas d’en avoir une grosse bouteille à portée de main !

🧘‍♀️ L’auto-exploration : La masturbation anale comme terrain de jeu

Avant de laisser quiconque entrer dans votre forteresse arrière, apprenez à la connaître vous-même ! La masturbation anale n’est pas une corvée, c’est une répétition générale indispensable et terriblement excitante.

🔑 Comment s’entraîner en solo ?

1. 1. Le Cocon : Choisissez un moment et un lieu où vous êtes totalement seule, détendue et sans contrainte de temps.
   2. Les Prémices : Commencez par les caresses externes. Massez la zone, frottez l’espace entre le vagin et l’anus (le périnée), et laissez l’excitation monter. Cette zone est un carrefour nerveux fantastique.
   3. L’Introduction : Une fois bien excitée et le périnée détendu, enduisez généreusement votre index (ongle coupé et arrondi OBLIGATOIRE !) de lubrifiant.
   4. La Danse : Introduisez votre doigt très lentement, en exerçant une pression douce et constante. Respirez. Si cela tire, arrêtez-vous un instant et concentrez-vous sur la détente. Contractez et décontractez vos sphincters autour du doigt. C’est le meilleur moyen d’apprendre à les relâcher à la demande.
   5. L’Écoute : Testez différents mouvements, profondeurs, et rythmes. Cherchez la sensation qui fait vibrer votre bassin. L’auto-exploration vous donnera les clés précises à transmettre à votre partenaire : « Vas-y doucement et en ligne droite », « J’aime quand tu fais des petits cercles », etc.

Blockquote : « Quand j’ai commencé la masturbation anale, j’avais l’impression de faire un truc interdit. Mais j’ai découvert que la pression interne combinée à la stimulation de mon clitoris me donnait des orgasmes plus longs et plus profonds que d’habitude. C’est devenu ma routine de préparation préférée avant de laisser mon homme y aller. Je sais exactement comment me détendre, et il n’y a plus aucune appréhension. » – Léa, 29 ans.

🧸 Les sextoys : Vos coachs pour la pénétration anale

Pour préparer l’anus à l’arrivée d’un pénis (ou de tout autre objet plus conséquent), l’utilisation progressive de sextoys est une stratégie géniale. Ils sont conçus pour détendre le sphincter en douceur et vous donner confiance.

Le Plug Anal : L’ami de la dilatation progressive

Avec sa forme conique et son collet de sécurité, le plug anal est le meilleur accessoire pour les débutant(e)s.

• • Le rôle : Il dilate l’anus progressivement et maintient la zone détendue. Le fait de le porter pendant quelques minutes (ou même plus !) habitue le corps à la sensation de « pleinitude » sans la contrainte du mouvement de va-et-vient.
  • Le choix : Commencez par une petite taille, même si vous êtes tentée par un format plus audacieux. On progresse par étapes. Indispensable : Le plug doit toujours avoir une base évasée pour éviter qu’il ne soit aspiré par le rectum.

Le Chapelet Anal (ou Perles Anal) : Le massage interne

Le chapelet, avec ses perles de taille croissante ou identique, est excellent pour la détente et la stimulation interne.

• • Le kiff : L’insertion progressive est un exercice de patience et de détente. Mais le vrai feu d’artifice, c’est le retrait. Tirez doucement sur la cordelette : le passage des perles sur les parois est un massage extatique et intense.

👑 Bonus pour les hommes : Le Stimulateur Prostatique

Messieurs, si vous lisez ce guide, sachez que la pénétration anale est aussi une autoroute vers votre nirvana. La prostate (ou point P masculin), cette petite glande de la taille d’une noix, est une zone extrêmement érogène, uniquement accessible par voie anale.

• • L’effet : Un stimulateur prostatique (souvent courbé pour cibler la zone) peut procurer un orgasme prostatique qui est souvent décrit comme un orgasme de tout le corps, sans nécessité d’éjaculation (même si elle est possible). C’est le Graal de l’anal pour l’homme ! Un excellent moyen de s’habituer à la sensation anale avant de demander à votre partenaire de vous y accompagner.

🗣️ La Clé du succès : Écoute et Communication

La sodomie est l’acte sexuel qui exige le plus de communication ouverte, honnête et bienveillante. C’est la garantie d’un moment de plaisir partagé, et non d’une corvée pour l’un ou l’autre.

Comment réussir une première expérience de sodomie avec une femme novice

Si vous êtes l’initiateur (souvent l’homme), votre rôle est d’être le plus doux, lent, et attentif des partenaires.

1. 1. Le Préalable : Ne demandez pas la sodomie au pied levé. Discutez-en calmement, exprimez votre fantasme et demandez-lui ce qu’elle en pense, sans pression. Mieux : invitez-la à lire cet article ! 😉
   2. L’Ambiance : Créez un environnement sexy et sécurisant. L’anxiété contracte les muscles. L’excitation les détend. Prélude long, caresses partout, et une confiance totale.
   3. L’Insertion : Tenez-vous-en aux doigts, à un petit plug, ou à la pointe très lubrifiée. L’insertion du pénis doit se faire uniquement lorsque le sphincter est déjà détendu et qu’elle dit OUI.
   4. Le Rythme : Très, très lentement. Quelques centimètres, on s’arrête. On respire ensemble. Demandez-lui son ressenti. Le rythme est d’abord lent, puis peut s’accélérer si et seulement si elle vous y invite clairement.
   5. Le Retrait : Retirez-vous au moindre signe d’inconfort ou de douleur, sans discussion. Le rapport doit pouvoir s’arrêter immédiatement, sans reproche.

Blockquote : « J’ai dit à mon partenaire : ‘Si tu veux que j’aime ça, tu dois y aller comme si tu caressais une plume.’ Et il l’a fait. Il s’est concentré sur les massages, sur les préliminaires qui me rendaient folle. Quand il a introduit son doigt, j’étais déjà en transe. L’acte lui-même était une continuité de l’intimité, pas une rupture. Le secret, c’est de se sentir en sécurité et d’avoir la permission de dire stop à tout moment. » – Chloé, 35 ans.

Comment convaincre mon homme de pratiquer le sexe anal avec moi

Madame, si vous êtes en quête de nouvelles sensations et que votre homme est réticent, le secret est dans l’invitation et la pédagogie.

1. 1. Le Fantasme : Ne lui demandez pas de vous pénétrer. Demandez-lui de découvrir son corps et le vôtre par cette nouvelle voie. Parlez-lui de votre envie, de votre curiosité.
   2. L’Initiation : Commencez par lui faire découvrir les sensations. Offrez-lui un massage anal avec vos doigts ou votre langue (anulingus). Montrez-lui que cette zone est érogène et peut être propre.
   3. L’Expérimentation : Proposez-lui de lui faire un massage de la prostate avec un doigt (ultra-lubrifié !). Une fois qu’il aura expérimenté l’intensité de ce plaisir, il sera beaucoup plus ouvert à l’idée d’aller plus loin.
   4. La Sécurité : Assurez-le sur l’hygiène et sur la douceur. Expliquez-lui que ce n’est pas un film porno, mais un moment d’intimité lente et sensuelle.

👅 L’Anulingus : Le préliminaire qui met l’eau à la bouche

Impossible de parler de plaisir anal sans évoquer le fameux anulingus (ou rimming pour les intimes). C’est la cerise sur le gâteau de la sensualité.

Le sexe oral anal est un excellent préliminaire, car il détend la zone, la rend ultra-sensible, et prouve à votre partenaire que l’hygiène est impeccable. C’est l’acte de confiance ultime.

• • Le Secret : Douceur, concentration, et communication. Commencez par la zone du périnée et remontez doucement vers l’anus. N’hésitez pas à jouer avec la langue et les lèvres. L’anus est une zone de caresses autant que de pénétration.

 

🌟 Pourquoi toutes les femmes devraient expérimenter la sodomie

Si le désir est là, n’hésitez pas ! La sodomie est bien plus qu’une simple position.

1. 1. Des Orgasmes Nouveaux : Pour beaucoup de femmes, la pénétration anale déclenche un type d’orgasme différent : plus profond, plus long, plus centré sur le corps.
   2. Le Sentiment de Puissance : Partager un acte jugé « tabou » ou « audacieux » est un boost d’estime de soi et de liberté sexuelle.
   3. Une Intimité Décuplée : Le niveau de confiance et de communication requis pour le sexe anal renforce le lien du couple de manière incroyable.

 

💌 Témoignages : Elles ont osé le sexe anal et elles adorent !

Témoignage 1 : Émilie, 32 ans, Paris – « De la peur à la dépendance »

J’ai mis des années à me lancer. Ma peur principale était la fameuse « saleté » et, bien sûr, la douleur. Mon copain, un adepte de [lien suspect supprimé], a été incroyablement patient. Il a commencé par me masser le périnée puis il m’a offert un plug anal vibrant. Ce fut ma révélation !

J’ai d’abord pratiqué seule, avec des tonnes de lubrifiant au silicone. J’ai découvert la sensation de « pleinitude » et le kiff de sentir mon sphincter se contracter sur le jouet. Quand j’ai enfin dit oui à sa pénétration, il était ultra-prudent, super lent, et il faisait attention à ma respiration. La sensation ? C’est une pression profonde, une vibration qui remonte dans tout le corps. Je ne ressens pas un orgasme clitoridien « flash », mais plutôt une montée en puissance progressive qui me submerge. Aujourd’hui, on ne se voit plus sans une petite session de sodomie pour pimenter le tout. C’est devenu l’acte qui couronne nos ébats, la preuve de notre confiance absolue. Le sexe anal avec une jeune femme n’a rien à voir avec les clichés. C’est une expérience sensuelle, lente, et surtout, incroyablement excitante pour moi ! Je me sens libre et totalement badass de l’avoir exploré.

Témoignage 2 : Sofia, 28 ans, Bordeaux – « Le rimming comme entrée en matière »

Mon truc, c’était le fantasme du rimming. J’adorais l’idée que mon partenaire puisse s’occuper de moi de cette manière intime. L’anulingus a été notre première approche. Le premier homme à le faire a été un peu surpris, mais il a joué le jeu. J’avais fait une douche anale complète, donc j’étais sereine. Sentir sa langue là… c’est une caresse tellement inattendue et excitante. Je crois que l’excitation mentale de dépasser cette limite était la clé.

Quand on est passé à la pénétration, ce n’était plus un tabou. La zone était déjà chaude, détendue et ultra-sensible. Il a utilisé un lubrifiant épais à base d’eau et y est allé très doucement, en me tenant la main et en me regardant droit dans les yeux. C’était une preuve d’amour et de confiance incroyable. Maintenant, je le fais même avec des partenaires occasionnels trouvés sur des sites de rencontre coquine : si le courant passe et que la communication est fluide, c’est mon « test » de confiance. Si un homme est doux, patient et respectueux en sodomie, il l’est dans la vie. C’est mon conseil : commencez par le préliminaire !

Témoignage 3 : Laura, 41 ans, Lyon – « Une nouvelle jeunesse sexuelle grâce à l’anal »

Après 15 ans de mariage, on avait l’impression d’avoir fait le tour de la question. On a commencé à chercher des idées pour pimenter les choses. Mon mari m’a avoué son fantasme de sodomie. J’étais très réticente, mais l’idée de lui faire plaisir m’excitait.

J’ai décidé de prendre les rênes. J’ai acheté un coffret de sextoys anaux (un petit chapelet et un plug) et j’ai commencé la préparation. On a fait ça ensemble : des soirées jeux, où l’un de nous insérait le plug à l’autre, sous les rires et les caresses. C’était une nouvelle forme d’intimité, très ludique. Quand il y a eu pénétration, ce n’était plus effrayant, c’était la suite logique d’un jeu. Le plus drôle, c’est que je suis devenue la plus demandeuse ! Pour moi, la sodomie est une position qui donne un sentiment de contrôle et de puissance. Quand je suis sur le ventre, fesses en l’air, je suis totalement vulnérable mais en même temps, totalement maîtresse de la situation, guidant chaque mouvement par la parole. C’est la preuve qu’on peut réussir une première expérience de sodomie à tout âge et que ça peut raviver la flamme d’un couple établi.

Témoignage 4 : Jeanne, 36 ans, Lille – « L’orgasme profond inattendu »

J’ai toujours été facile à satisfaire, mais mes orgasmes étaient toujours rapides. J’ai expérimenté la sodomie avec un amant de passage, sans grande attente, juste par curiosité. Il était très expérimenté et m’a fait respirer pendant toute la phase d’insertion, comme un coach de yoga ! C’était étonnant, car j’ai ressenti un plaisir que je n’avais jamais eu. C’est comme si le pénis frappait une zone à l’intérieur qui n’avait jamais été touchée.

C’est un plaisir qui se construit. L’excitation monte doucement, profondément, jusqu’à devenir une vibration dans tout le bas-ventre. Mon corps se cambrait tout seul. Quand l’orgasme est arrivé, il a duré une éternité. Une vague qui a continué de déferler même après l’éjaculation de mon partenaire. C’est l’orgasme profond dont j’avais toujours entendu parler sans jamais l’atteindre. Depuis, je suis une fervente militante du sexe anal. Pour moi, c’est la voie royale vers la jouissance totale, le dépassement physique et mental.

🛑 Vous avez peur de la sodomie ? Voici 3 conseils pour oser

La peur est normale, mais elle est là pour être dépassée. Si le désir est présent, voici comment rassurer votre cerveau et votre corps :

1. 1. Le Micro-Pas : Oubliez la pénétration du pénis pour l’instant. Concentrez-vous sur des micro-étapes : l’anulingus seul, le massage du périnée avec une huile chaude, le port du plug anal pendant que vous lisez un livre. Chaque petite étape réussie est une victoire contre l’anxiété.
   2. L’Hypnose : Concentrez-vous sur la détente. Lors de votre auto-exploration, utilisez un mot-clé (par exemple, « lâcher-prise » ou « plaisir ») et associez-le à une expiration profonde. Lorsque vous passerez à l’acte avec votre partenaire, prononcez ce mot pour vous aider à relâcher vos sphincters.
   3. La Position : Choisissez une position où vous avez le contrôle total du mouvement, comme la levrette ou la cuillère (où vous êtes blottie contre lui). Le fait de savoir que vous pouvez vous retirer à tout moment est une garantie de sécurité psychologique.

❓ FAQ Anal : Vos questions coquines, nos réponses décalées !

Q1. Est-ce que la sodomie peut blesser ou endommager mon corps ?

Absolument pas, si l’on respecte les règles ! Le rectum est très élastique. Le risque de blessure vient du manque de lubrifiant ou d’une pénétration forcée et trop rapide. La douleur est un signal d’alarme : si vous avez mal, arrêtez, mettez plus de lubrifiant, et recommencez plus doucement. Un acte bien mené ne laisse aucune trace, à part peut-être un petit sourire de satisfaction. 😉

Q2. Combien de lubrifiant faut-il utiliser ?

La réponse est simple : une quantité indécente ! Oubliez la petite noisette. Pour le sexe anal, on parle d’une cuillère à soupe, voire plus, pour le pénis/sextoy et l’entrée de l’anus. Il vaut mieux en avoir trop que pas assez. La glisse est la clé du confort. N’hésitez pas à faire des pauses pour réappliquer du lubrifiant si les choses commencent à frotter.

Q3. Est-ce que le sexe anal dilate mon anus définitivement ?

Non, c’est un mythe ! L’anus est un muscle, le sphincter, qui a la capacité de se dilater (ce qu’il fait plusieurs fois par jour, d’ailleurs !) et de se recontracter. Il reprend sa forme normale immédiatement après l’acte. Il n’y a aucun risque de « dégât permanent ». Vous restez aussi sexy et tonique qu’avant !

Q4. Comment gérer le stress lié à l’hygiène pendant un rapport improvisé ?

Si vous n’avez pas eu le temps de faire un lavement, respirez et faites confiance à la nature. Souvent, la simple hygiène de base (douche classique) suffit pour les préliminaires. Si le stress vous paralyse, il vaut mieux reporter. La première fois, choisissez un moment où vous êtes détendue et préparée. Si vous êtes avec un partenaire qui vous met mal à l’aise avec cette question, ce n’est pas le bon. Un partenaire aimant ne vous mettra jamais la pression sur ce sujet.

Q5. Mon partenaire insiste, mais je n’ai pas envie, que faire ?

La règle d’or, c’est le consentement libre et éclairé. Votre corps vous appartient. Si vous n’avez pas envie, la réponse est un NON ferme et définitif, sans justification. L’amour et le respect passent par l’acceptation des limites de l’autre. Un partenaire qui vous aime et vous respecte ne vous forcera jamais, même indirectement. Le sexe anal est une aventure à deux, jamais un devoir.

Q6. Est-ce que je peux tomber enceinte avec le sexe anal ?

Non, le sperme ne peut pas remonter du rectum jusqu’à l’utérus pour féconder l’ovule. Cependant, si le pénis ou l’objet pénétrant passe de l’anus au vagin sans être nettoyé/changer de préservatif, il peut y avoir un transfert de spermatozoïdes qui, eux, peuvent entraîner une grossesse. C’est pourquoi l’usage du préservatif et la propreté sont essentiels, même s’il n’y a pas de risque de grossesse par la seule pénétration anale.