Laetitia la ronde, dite La Grosse Cochonne

Bon à savoir : avec une grosse cochonne on sait où on met les pieds …

Laetitia est sans une grosse cochonne

Un gros cul, des gros seins, ça donne une grosse cochonne :

Wouaahouuh, Laetitia est un peu grassouillette, mais elle a des gros seins et un cul bandant !! Un peu pétasse, Laetitia aime sucer et le sexe qui fait du bien.
Donc, pour baiser avec cette femme généreuse, il faut aimer les femmes rondes. Mais aussi des gros nibards, des culs généreux que l’on peut attraper à pleines mains. Des belles rondeurs qui respirent les sexe et l’envie de jouir.On a beau dire que les meufs pulpeuses seraient comme ci ou comme ça, tout ce que je vois c’est qu’elles déclenchent des sacrés bonnes érections !!

Laetitia aime le sexe, comme toi …

Il fallait vraiment que je sois en manque ce jour là. Bref, j’avais une trique d’enfer et j’en avais marre de me palucher en solo. Je filais donc dare-dare au Canal, un bar glauque paumé dans le quartier interlope du 12ème. Accoudé au zinc rouillé, j’enquillais bière sur bière lorsque je vis cette morue poser son cul sur le tabouret à coté de moi. C’était un vrai boudin, mais cette salope sentait le sexe à plein nez. -Tu bois quèqu’choze ?- me rencardais-je auprès de la miss tout en lui allumant sa goldo sans bout filtre qu’elle avait coincé entre ses dents.

D’ailleurs c’est quand elle répondit qu’elle m’accompagnerait au demi que je reniflais l’haleine chargée d’alcool et de tabac de la grognasse. Cette grosse salope avait déjà commencé sa soirée en tirant sur la boutanche, et je me demandais même si elle avait pas déjà sucé un braquemard vu les taches jaunâtres qui décoraient le haut de son tee-shirt. En me renseignant sur son emploi du temps et sur ses goûts zé dégoûts, je compris que la pouffiasse aimait la bite -les grosses bites bien dures- crut-elle bon de préciser.

Et qu’elle avait du tater du serpent à tête rouge avant de débarquer dans ce rade et de caler son derche à coté de mézigue. Je sentais que, tout boudin qu’elle était, cette morue et himself on allait jouer au papa et à la maman dans tout les sens du terme. En attendant, les bibines descendaient aussi vite qu’un ascenceur en chute libre dans la tour montparnasse, et ma bite commençait à m’avertir qu’elle se sentait à l’étroit.

C’est marrant cette manie qu’a la grosse cochonne de toujours ouvrir les cuisses

Laetitia, la grognasse s’apellait Laetitia, commençait à faire des circonvolutions avec son cul. Tandis que ma main jouait à Rouletabille sous sa robe, repérant un clito surgonflé et complètement trempé. Je lui dis comme-ça que j’allais pisser au moment ou mon majeur s’enfonçait dans sa chatte. Reniflant mon doigt humide je me levais et fonçais aux wawas. Du coin de l’œil je vis Laetitia qui me suivait, les nichons comme des torpilles télécommandées vers ma bite. Je claquais la porte des chiottes messieurs derrière nous.

Mais Laetitia était déjà accroupi devant moi, caressant mon pilon de ses deux mains, décalottant mon gland, sa bouche l’aspira. En experte du camarade pipeau elle me recalotta et fit tourner sa langue entre mon prépuce et mon gland. A ce tarif là, j’allais décharger aussi vite que Lucky Luke d’autant qu’elle avait déjà son doigt dans mon cul. -C’est pas grave- me rassura-t-elle, -balance ta purée mon salaud, je veux ton foutre et on a toute la nuit !!

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